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  • Publication Year 1943
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Problem of e-waste continues to grow in the Pacific (audio)
Waste Management and Pollution Control
Available Online

Nolan, Bradley

2020
A new report has found that more than 53.6 million tonnes of e-waste was dumped or burned globally last year, which is the equivalent of 350 cruise ships, and up more than 20 per cent in just five years. The UN's Global E-waste Monitor 2020 also ranked Oceania as the second highest region, per capita, of e-waste, with each person generating 16.1 kilograms on average, it said. Common e-waste items include old mobile phones, batteries, TVs, computers and tablets. But Australia and New Zealand are the leading producers of that e-waste, with people in Pacific countries like Samoa and Tonga estimated to produce 3.1 kilograms per person, and in Fiji and PNG, the figure was just 1.5 kilograms. It's a problematic issue across the globe but in the Pacific, where in many countries there isn't the space for all this dumped technology, problems are looming. The region's peak environment body, SPREP, is working on several projects to tackle the issue. Bradley Nolan, the Project Manager for PacWastePlus, which is funded by the European Union, told Pacific Beat "disposable societies and large incomes" in countries like Australia and New Zealand explain why residents in those countries produce such large quantities of e-waste. And he suggested that Australia and other donor partners may in fact contribute to some of the e-waste in Pacific nations, with equipment such as computers donated when they had reached their end-of-life there. "There have been some incidents where some of the metropolitan countries [ie Australia, New Zealand] when some of their products are at the end of their useful life, say in a government department, has gifted those to countries to help out. "But of course they have less life, so they become an instant e-waste problem when they hit the islands...so aid and the work that people are attempting to do, with great intentions, creates some significant problems at the other end," he said.
Restauration des îlots de Wallis - Rapport de mission préliminaire
Biodiversity Conservation, BRB
Available Online

Griffiths, Richard (Island Conservation)

,

des Monstiers, Baudouin (Island Conservation)

2019
Afin de protéger la biodiversité terrestre et marine et de préserver les conditions de vie de la population Wallisienne, il est proposé d’enlever les vertébrés envahissants des îlots situés dans le lagon de Wallis. Dans cette optique, le personnel d'Island Conservation a travaillé conjointement avec celui du Service Territorial de l’Environnement de Wallis et Futuna au cours des mois de Septembre et Octobre 2019 pour entamer le travail de consultation et mieux comprendre les conditions nécessaires à la réussite d’un tel projet. Un panel de vertébrés introduits comprenant des rats, des chats et des cochons est présent sur l’ensemble des îlots du lagon de Wallis, sauf un. Ces espèces constituent une menace permanente pour les plantes et les animaux indigènes des îles et perturbent les processus écosystémiques responsables de la régénération des forêts indigènes et du bon état de santé des récifs. Différentes consultations avec les parties prenantes majeures ont été entreprises et tous les îlots ont été visités et expertisés. Aucun obstacle insurmontable au retrait des espèces envahissantes n'a été identifié et leur éradication est considérée comme réalisable. Une partie des îlots pourrait être traitée manuellement depuis le sol, tandis que les îlots présentant une topographie plus complexe nécessiteraient l'utilisation d’un moyen aérien de type drone pour épandre les appâts contenant le raticide. Préalablement au retrait des rats et des chats, les cochons devront être retirés des îlots où ils sont présents (stratégie présentée au sein de ce document). Des consultations plus approfondies sont essentielles pour fédérer un soutien du public au projet et pouvoir identifier les obstacles à résoudre avant de procéder à l'éradication. Les îlots de Wallis sont régulièrement visités et utilisés par la population. Par conséquent, d’importants efforts et un soutien de la part de la communauté Wallisienne seront nécessaires pour empêcher des réinvasions et assurer la pérennité des bénéfices du projet. Ce projet représente une véritable opportunité pour Wallis de protéger ses ressources naturelles et de développer sa capacité à gérer les problèmes liés aux espèces envahissantes.
Workbook : Paysage culturel de Taputapuātea
SPREP Publications, Biodiversity Conservation, BRB
Available Online

Direction de l'Environnement

,

Direction de la Culture et du Patrimoine

,

Teriitehau, Raimana

2020
Les sites d’action visé par le plan de travail font référence aux parcelles affectées par la Polynésie française à sa Direction de la Culture et du Patrimoine (DCP) pour la gestion du Paysage Culturel Taputapuātea. De par cette maîtrise foncière s’en suit un droit d’intervention dans le cadre précis sur la lutte contre les espèces exotiques envahissantes. De plus elle permet de garantir le suivi et l’évaluation des actions qui seront menées sur la période du projet et voir au-delà. Globalement, en matière de biodiversité et de la culture polynésiennne ces sites se définissent selon 3 critères: (i) chaque site présente un attrait culturel majeur avec la présence plus ou moins importante de vestiges archéologiques; (ii) la faune et la flore qui s’y développe est indigène et/ou d’introduction polynésienne “naturalisé”; et (iii) des espèces protégés par le code de l’environnement polynésien et incrites sur la liste rouge de l’UICN sont présentes. La sacralité et le respect de ces lieux par la communauté locale est un atout de préservation de ces attributs « Nature et culture ». Ces sites s’incrivents dans un paysage anthropisé, il faut néanmoins les considérés comme des points refuge pour la biodiversité.