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This project - Disaster Risk Reductino and Climate Change Impact Survey if Cultural Sites in the Republic of Palau: Reconnaissance Survey is the first phase of a longer-term initiative to examine archaeologically and culturally significant sites across the archipelago and assess their vulnerability to climate change, including but not limited to modelled projections of rising sea levels and sedimentation and erosion of sites vis-a-vis tidal inundation and rainfall.

Vanuatu submits this updated and enhanced nationally determined contribution (NDC), in which our political leaders, technical experts and civil society have considered how our nation can move to a global net-zero greenhouse gas (GHG) emissions society.

Le plan de Biosécurité des îlots de Wallis pose les standards par lesquels les risques de réintroductions de rongeurs ou d’introduction de nouvelles espèces seront minimisés. Il tend à atteindre ce standard de protection pour Wallis via des mesures volontaires ou rendues obligatoires sur le territoire. Les mesures permettant de viser ces standards sont présentées dans ce plan et les rôles et responsabilités y sont identifiés. L’acceptation et l’approbation de ce plan sont portés par le Service Territorial de l’Environnement de Wallis en consultation étroite avec la population locale.

Au Mont Lulu à Wallis, le Service Territorial de l’Environnement a mené des opérations de retrait d’agaves américaines sur trois sites totalisant 400 m2. Après les premières opérations de retrait de 30 individus adultes (mesurant 2m de hauteur et 1,5 m de diamètre), 120 individus moyens et plus de 1500 plantules ont également été enlevés. Un travail important de suivi a été déployé, permettant de contrôler la repousse.

Les plantes envahissantes représentent un risque important pour la biodiversité. Elles accaparent les ressources des espèces indigènes ou endémiques. A Wallis et Futuna dans le cadre du projet PROTEGE, les agents du Service territorial de l’environnement (STE) créent une pépinière afin de reboiser les espaces sur lesquels le merremia pelcata, une liane très envahissante, a recouvert la forêt.

La mise en œuvre du projet PROTEGE sur la thématique des EEE sur le Paysage Culturel Taputapuatea ne peut être garantie sans un appui en termes de sensibilisation et de communication. En effet, cela permettra une meilleure appropriation des actions de mise en œuvre de la gestion et de la restauration du site UNESCO par la population locale, et cela permettra également aux acteurs locaux de mieux agir sur cette thématique et de faire évoluer les pratiques à court, moyen et long terme afin de garantir l’intégrité du Bien et la reconduction du label UNESCO. La mission de sensibilisation va permettre d’informer les acteurs locaux sur les généralités des EEE et leurs moyens de lutte/éradication associés, et sur les EVP et leur conservation et restauration. Elle passera par des phases d’information, de connaissances, et d’actions pédagogiques, ludiques avec des visites et ateliers de terrain. L’élaboration du plan de sensibilisation place au cœur de sa stratégie des publics cibles auxquels sont associés : des objectifs et messages de sensibilisation, des moyens, et des outils/supports adéquats et adaptés aux publics cibles.

Une Espèce Exotique est une espèce végétale ou animale introduite par l’homme, de manière volontaire ou non, en dehors de sa zone habituelle. Elles deviennent Envahissantes lorsqu’elles possèdent une forte capacité de prolifération et qu’elles éliminent les plantes indigènes (locales) et endémiques. Le « Paysage Culturel Taputapuātea » (PCT), inscrit sur la liste du Patrimoine mondial de l’UNESCO, est le site retenu pour l’opération de « Mise en œuvre d’actions de lutte contre les Espèces Exotiques Envahissantes (EEE) et d’actions de gestion de la biodiversité ». C’est la raison pour laquelle ce guide a été réalisé. - d’informer sur les dangers des EEE - d’ expliquer les impacts de ces espèces - d’aider à les reconnaître - de limiter leur développement

In Aotearoa New Zealand, a significant threat to biodiversity, conservation efforts and Indigenous cultural identity is the unwanted introduction of invasive pests, plants and pathogens. Currently methods to control invasive species in Aotearoa New Zealand, in particular mammalian pests (i.e. possums (Trichosurus vulpecula)) have had decreasing public support. This has likely come about for a number of reasons, including lack of social engagement and concerns over impacts combined with an increasing distrust of top-down initiatives. Aims and methods. We analysed opinions towards existing and emerging technologies to manage invasive species. Data were obtained from 1015 respondents who identified as Indigenous Maor ¯ i from a national survey of 8199 respondents. Utilising psychological frameworks to investigate underlying beliefs of social acceptance, we analysed the responses using exploratory and latent class analysis methods to summarise the main perspectives.

This webinar provided an overview on the PRISMSS five regional programmes, and introduced the Resilient Ecosystems Resilient Communities approach - priority area and ecological restoration,. In this session, David Moverley, technical lead for PRISMSS RERC programme talks about the processes involved in restoring ecosystems and their services at high valued ecological sites, as well as managing multiple types of invasive species. The webinar was an introductory session for the Pacific Island Forest Restoration Initiative (PIFRI)

This report reflects the key outcomes of the 24th PIRT Annual Meeting and is provided for the information of PIRT Members and Working groups as well as other interested organisations, partners and stakeholders.