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Les sites d’action visé par le plan de travail font référence aux parcelles affectées par la Polynésie française à sa Direction de la Culture et du Patrimoine (DCP) pour la gestion du Paysage Culturel Taputapuātea. De par cette maîtrise foncière s’en suit un droit d’intervention dans le cadre précis sur la lutte contre les espèces exotiques envahissantes. De plus elle permet de garantir le suivi et l’évaluation des actions qui seront menées sur la période du projet et voir au-delà. Globalement, en matière de biodiversité et de la culture polynésiennne ces sites se définissent selon 3 critères: (i) chaque site présente un attrait culturel majeur avec la présence plus ou moins importante de vestiges archéologiques; (ii) la faune et la flore qui s’y développe est indigène et/ou d’introduction polynésienne “naturalisé”; et (iii) des espèces protégés par le code de l’environnement polynésien et incrites sur la liste rouge de l’UICN sont présentes. La sacralité et le respect de ces lieux par la communauté locale est un atout de préservation de ces attributs « Nature et culture ». Ces sites s’incrivents dans un paysage anthropisé, il faut néanmoins les considérés comme des points refuge pour la biodiversité.

Une Espèce Exotique est une espèce végétale ou animale introduite par l’homme, de manière volontaire ou non, en dehors de sa zone habituelle. Elles deviennent Envahissantes lorsqu’elles possèdent une forte capacité de prolifération et qu’elles éliminent les plantes indigènes (locales) et endémiques. Le « Paysage Culturel Taputapuātea » (PCT), inscrit sur la liste du Patrimoine mondial de l’UNESCO, est le site retenu pour l’opération de « Mise en œuvre d’actions de lutte contre les Espèces Exotiques Envahissantes (EEE) et d’actions de gestion de la biodiversité ». C’est la raison pour laquelle ce guide a été réalisé. - d’informer sur les dangers des EEE - d’ expliquer les impacts de ces espèces - d’aider à les reconnaître - de limiter leur développement

Ocean and land are not separate systems, what happens in one influences the other. In this way, what happens on every Pacific island has an impact on the surrounding ocean. In the past, nutrients would flow from land to sea to keep reefs and seagrass beds healthy. Seabirds and turtles bring marine nutrients to land when they breed.

These are some dangers that impact all marine species, fishing, climate change, plastic pollution and coastal development.

We need there to be less plastic pollution in the ocean. It is important to think about where things go when we throw them away and we need to make sure they don't end up trapping a dolphin or being eaten by a albatross.

Our vision is for a healthy Pacific Ocean with thriving populations of all marine species, which will assure the aspirations of Pacific island peoples and protect their natural and cultural heritage.