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Rapport technique du projet PROTEGE relatif à l’enquête auprès des chasseurs sur les chèvres ensauvagées à Maré
SPREP Publications, Biodiversity Conservation, BRB
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ANCB

2023
Dans le cadre du projet PROTEGE une enquête a été réalisée à Maré par l’Agence néo-Calédonienne de la Biodiversité (ANCB) auprès des chasseurs de chèvres ensauvagées. Les objectifs sont d’évaluer les pratiques et l’effort de chasse, le niveau de prélèvements, la capacité et la volonté de diversifier les techniques de chasse et à augmenter l’effort de chasse, au regard des dégâts constatés. Les chèvres ensauvagées (ou férales, Capra hircus) contribuent à la raréfaction de nombreuses espèces végétales natives et à la dispersion et au développement de plusieurs plantes introduites envahissantes. Aux Îles Loyauté des troupeaux de chèvres sont présents sur une grande partie des corniches littorales de Lifou et de Maré, où la chasse de la chèvre ensauvagée répond principalement à un besoin pour les dons et coutumes, et pour l’autoconsommation. Une pré-enquête a été réalisée par l’animateur PROTEGE (également agent de l’ANCB), afin de recenser les chasseurs de chèvres férales sur Maré et de prendre leurs contacts pour la réalisation de l’enquête. Dans un deuxième temps, l’ensemble des chasseurs de chèvres ensauvagées identifiés ont été contactés afin de répondre à l’enquête.
Rapport sur la Contribution à la caractérisation et à la sectorisation des zones d’intervention au sein des zones prioritaires
Biodiversity Conservation, BRB
Available Online

DOMINIQUE, Yannick (Bio eKo Consultants)

,

VERDIER, Lucille (Bio eKo Consultants)

2024
Le rapport présente les résultats de la caractérisation et la sectorisation des zones d'intervention du projet PROTEGE en Nouvelle-Calédonie au sein des trois zones prioritaires sélectionnées par le groupe technique. Ce travail de sectorisation a pour objectif de contribuer à la détermination, au sein des trois zones prioritaires, des zones d’environ 10 000 ha correspondant aux zones d’intervention optimales (ZI) pour les opérations de régulation des populations d’ongulés, en particulier de régulation professionnelle au sol et/ou héliportée. La démarche méthodologique qui a été retenue pour identifier les zones d’intervention au sein de chacune des trois Zones Prioritaires s’appuie sur la caractérisation du « risque cerf », qui représente le niveau potentiel de menace généré par les cerfs sur les différents enjeux présents au sein des ZP. Le calcul de ce niveau de risque repose sur (i) la pression "cerf", qui peut se matérialiser par le niveau d'abondance, de fréquentation, de concentration ou de niveau historique de dégradation; (ii) le degré d'enjeu du point de vue environnemental (valeur intrinsèque de la biodiversité ou services écosystémiques rendus) ou du point de vue anthropique (ex : zones agricoles).
Restauration des îlots de Wallis - Rapport de mission préliminaire
Biodiversity Conservation, BRB
Available Online

Griffiths, Richard (Island Conservation)

,

des Monstiers, Baudouin (Island Conservation)

2019
Afin de protéger la biodiversité terrestre et marine et de préserver les conditions de vie de la population Wallisienne, il est proposé d’enlever les vertébrés envahissants des îlots situés dans le lagon de Wallis. Dans cette optique, le personnel d'Island Conservation a travaillé conjointement avec celui du Service Territorial de l’Environnement de Wallis et Futuna au cours des mois de Septembre et Octobre 2019 pour entamer le travail de consultation et mieux comprendre les conditions nécessaires à la réussite d’un tel projet. Un panel de vertébrés introduits comprenant des rats, des chats et des cochons est présent sur l’ensemble des îlots du lagon de Wallis, sauf un. Ces espèces constituent une menace permanente pour les plantes et les animaux indigènes des îles et perturbent les processus écosystémiques responsables de la régénération des forêts indigènes et du bon état de santé des récifs. Différentes consultations avec les parties prenantes majeures ont été entreprises et tous les îlots ont été visités et expertisés. Aucun obstacle insurmontable au retrait des espèces envahissantes n'a été identifié et leur éradication est considérée comme réalisable. Une partie des îlots pourrait être traitée manuellement depuis le sol, tandis que les îlots présentant une topographie plus complexe nécessiteraient l'utilisation d’un moyen aérien de type drone pour épandre les appâts contenant le raticide. Préalablement au retrait des rats et des chats, les cochons devront être retirés des îlots où ils sont présents (stratégie présentée au sein de ce document). Des consultations plus approfondies sont essentielles pour fédérer un soutien du public au projet et pouvoir identifier les obstacles à résoudre avant de procéder à l'éradication. Les îlots de Wallis sont régulièrement visités et utilisés par la population. Par conséquent, d’importants efforts et un soutien de la part de la communauté Wallisienne seront nécessaires pour empêcher des réinvasions et assurer la pérennité des bénéfices du projet. Ce projet représente une véritable opportunité pour Wallis de protéger ses ressources naturelles et de développer sa capacité à gérer les problèmes liés aux espèces envahissantes.
Plan de détection précoce et réponse rapide contre les espèces exotiques envahissantes à Wallis et Futuna
Biodiversity Conservation, BRB
Available Online

DOMINIQUE, Yannick (Bio eKo Consultants)

2023
A travers le projet PROTEGE, le territoire de Wallis & Futuna a souhaité renforcer sa gestion des espèces exotiques envahissantes (EEE) et plus particulièrement la biosécurité aux frontières. La biosécurité des territoires est en effet un élément essentiel pour garantir la protection et le maintien des modes de vie des populations insulaires du Pacifique en prevenant l’entrée et l’établissement des agents biologiques susceptibles d’avoir des effets néfastes sur les différents secteurs de l’économie et de la santé, ainsi que sur l’environnement. En complément d'une revue de la règlementation qui a permis plusieurs avancées en termes de biosécurité, Wallis et Futuna a souhaiter mettre élaborer des procédures opérationnelles et des moyens qui permettent sa mise en œuvre pleine et effective. Le plan opérationnel de détection précoce et réponse rapide (EDRR (en anglais)) répond à cet objectif. Il vise à renforcer la coordination entre les différents acteurs impliqués dans la biosécurité du territoire, de garantir le soutien des autorités, notamment les autorités coutumières, ainsi que la vigilance et l’observation par tous pour détecter toute nouvelle apparition ou extension d’EEE.
Workbook : Paysage culturel de Taputapuātea
SPREP Publications, Biodiversity Conservation, BRB
Available Online

Direction de l'Environnement

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Direction de la Culture et du Patrimoine

,

Teriitehau, Raimana

2020
Les sites d’action visé par le plan de travail font référence aux parcelles affectées par la Polynésie française à sa Direction de la Culture et du Patrimoine (DCP) pour la gestion du Paysage Culturel Taputapuātea. De par cette maîtrise foncière s’en suit un droit d’intervention dans le cadre précis sur la lutte contre les espèces exotiques envahissantes. De plus elle permet de garantir le suivi et l’évaluation des actions qui seront menées sur la période du projet et voir au-delà. Globalement, en matière de biodiversité et de la culture polynésiennne ces sites se définissent selon 3 critères: (i) chaque site présente un attrait culturel majeur avec la présence plus ou moins importante de vestiges archéologiques; (ii) la faune et la flore qui s’y développe est indigène et/ou d’introduction polynésienne “naturalisé”; et (iii) des espèces protégés par le code de l’environnement polynésien et incrites sur la liste rouge de l’UICN sont présentes. La sacralité et le respect de ces lieux par la communauté locale est un atout de préservation de ces attributs « Nature et culture ». Ces sites s’incrivents dans un paysage anthropisé, il faut néanmoins les considérés comme des points refuge pour la biodiversité.