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Opérations de lutte contre les ongulés envahissants - Fiche finale de capitalisation - PROTEGE
SPREP Publications, Biodiversity Conservation, BRB
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PROE / SPREP

2025
Des opérations de régulation des populations de Cerf Rusa et de Cochon ensauvagé ont été menées en Nouvelle-Calédonie pour limiter les dommages causés par ces espèces exotiques envahissantes (EEE) sur les écosystèmes, les cultures et la ressource en eau. Ces interventions avaient pour principal objectif la protection des forêts humides de la chaîne centrale, des milieux remarquables par leur biodiversité exceptionnelle et leur rôle crucial dans le maintien des services écosystémiques indispensables, notamment liés au cycle de l’eau. En parallèle, l’implication des tribus dans des démarches participatives, de chasse-régulation et de piégeage, visait à réduire les dégâts sur les zones de savanes périphériques aux massifs forestiers et sur les champs cultivés pour faciliter l’acceptation locale du projet et contribuer à l’effort global de régulation. Grâce aux formations élaborées et dispensées dans le cadre du projet, les compétences des communautés locales en matière de sécurité, de chasse-régulation armée et de piégeage participatifs ont été considérablement renforcées et mises en pratique aussi bien sur la Grande Terre que sur les Îles Loyauté de Lifou et Maré. Par ailleurs, la formation des premiers agents de régulation professionnelle du territoire a marqué une étape importante en permettant la concrétisation d’opérations de régulation inédites dans les zones prioritaires de forêts humides de la Chaine centrale particulièrement éloignées et difficiles d’accès, n’ayant jusque-là bénéficié d’aucune action de régulation ciblée. FICHE FINALE DE CAPITALISATION DU PROJET PROTEGE, financé par l'Union Européenne.
Dispositif de suivi de l'abondance et de l'impact du cerf - Fiche finale de capitalisation - PROTEGE
SPREP Publications, Biodiversity Conservation, BRB
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PROE / SPREP

2025
Des dispositifs innovants de suivi ont été développés afin de mesurer l’impact du Cerf Rusa sur le sous-bois de forêts humides de Nouvelle Calédonie et évaluer l’abondance de cette espèce envahissante, dans trois zones prioritaires du territoire. L’élaboration de ces dispositifs poursuit des objectifs complémentaires aux actions de régulation professionnelle mises en œuvre dans le cadre de PROTEGE. Le suivi vise notamment à réaliser un état initial et à évaluer les bénéfices des opérations de régulation, grâce à des outils adaptés à des zones d’intervention difficiles d’accès et caractérisées par une biodiversité exceptionnelle, plus de 80% des espèces végétales des forêts humides d’altitude étant endémiques à la Nouvelle-Calédonie. Un travail initial de sectorisation a permis mieux de caractériser les enjeux, les pressions sur l’environnement ainsi que le contexte socio-économique afin de délimiter les zones d’intervention prioritaires. Pour la première fois en Nouvelle-Calédonie, un protocole standardisé de mesure de l’impact des cerfs a été élaboré. Il s’appuie sur plusieurs indicateurs et prend en compte les spécificités des espèces végétales concernées et des contraintes associées à sa mise en œuvre. En complément, PROTEGE a permis d’élaborer une méthodeinnovante d’évaluation de l’abondance des cerfs, reposant sur l’utilisation d’un drone équipé de capteur thermique pour l’enregistrement de vidéos nocturnes. Un algorithme développé spécifiquement a par ailleurs vocation à réaliser automatiquement les détections à partir de ces vidéos, facilitant considérablement le traitement des données. La mise en œuvre de ce protocole pour la prospection de 4 700 hectares a révélé des densités de populations et des concentrations de hardes localement très élevées, atteignant par endroits des niveaux parmi les plus élevés enregistrés à l’échelle mondiale. Ces résultats fournissent des informations précieuses pour le ciblage de futures interventions et le suivi de leurs bénéfices. FICHE FINALE DE CAPITALISATION DU PROJET PROTEGE, financé par l'Union Européenne.
Rapport technique du projet PROTEGE relatif à l’enquête auprès des chasseurs sur les chèvres ensauvagées à Maré
SPREP Publications, Biodiversity Conservation, BRB
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ANCB

2023
Dans le cadre du projet PROTEGE une enquête a été réalisée à Maré par l’Agence néo-Calédonienne de la Biodiversité (ANCB) auprès des chasseurs de chèvres ensauvagées. Les objectifs sont d’évaluer les pratiques et l’effort de chasse, le niveau de prélèvements, la capacité et la volonté de diversifier les techniques de chasse et à augmenter l’effort de chasse, au regard des dégâts constatés. Les chèvres ensauvagées (ou férales, Capra hircus) contribuent à la raréfaction de nombreuses espèces végétales natives et à la dispersion et au développement de plusieurs plantes introduites envahissantes. Aux Îles Loyauté des troupeaux de chèvres sont présents sur une grande partie des corniches littorales de Lifou et de Maré, où la chasse de la chèvre ensauvagée répond principalement à un besoin pour les dons et coutumes, et pour l’autoconsommation. Une pré-enquête a été réalisée par l’animateur PROTEGE (également agent de l’ANCB), afin de recenser les chasseurs de chèvres férales sur Maré et de prendre leurs contacts pour la réalisation de l’enquête. Dans un deuxième temps, l’ensemble des chasseurs de chèvres ensauvagées identifiés ont été contactés afin de répondre à l’enquête.
Rapport sur la Contribution à la caractérisation et à la sectorisation des zones d’intervention au sein des zones prioritaires
Biodiversity Conservation, BRB
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DOMINIQUE, Yannick (Bio eKo Consultants)

,

VERDIER, Lucille (Bio eKo Consultants)

2024
Le rapport présente les résultats de la caractérisation et la sectorisation des zones d'intervention du projet PROTEGE en Nouvelle-Calédonie au sein des trois zones prioritaires sélectionnées par le groupe technique. Ce travail de sectorisation a pour objectif de contribuer à la détermination, au sein des trois zones prioritaires, des zones d’environ 10 000 ha correspondant aux zones d’intervention optimales (ZI) pour les opérations de régulation des populations d’ongulés, en particulier de régulation professionnelle au sol et/ou héliportée. La démarche méthodologique qui a été retenue pour identifier les zones d’intervention au sein de chacune des trois Zones Prioritaires s’appuie sur la caractérisation du « risque cerf », qui représente le niveau potentiel de menace généré par les cerfs sur les différents enjeux présents au sein des ZP. Le calcul de ce niveau de risque repose sur (i) la pression "cerf", qui peut se matérialiser par le niveau d'abondance, de fréquentation, de concentration ou de niveau historique de dégradation; (ii) le degré d'enjeu du point de vue environnemental (valeur intrinsèque de la biodiversité ou services écosystémiques rendus) ou du point de vue anthropique (ex : zones agricoles).
Mise en œuvre de l’Indice Aérien d’Abondance du Cerf par Drone avec capteur thermique
Biodiversity Conservation, BRB
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Naseur CHERIF, Ecotone

,

Romain ALLIOD, Ecotone

2024
Un protocole innovant de suivi de l’abondance du cerf par drone avec capteur thermique a été élaboré et mis en œuvre pour évaluer l’abondance des populations de cerfs sur les zones prioritaires du projet. Les observations de cette première mise en œuvre ont confirmé une forte concentration des hardes dans les zones difficiles d’accès où la chasse nourricière est pratiquement absente, atteignant en certains endroits des densités qui constituent certainement un record mondial - toutes espèces de cervidés confondues. Pour élaborer ce protocole, des premiers tests ont été réalisés sur divers habitats (savanes, forêt sèche et humide) et à différentes attitudes et pentes, contribuant à la formalisation d’une étude de faisabilité. Celle-ci a permis d’élaborer une méthode projetable dans des zones très difficiles d’accès sans risque d’effarouchement des animaux. Cette phase a par ailleurs permis le développement d’un algorithme de détection et de comptage automatique, capable de distinguer la signature thermique des cerfs de celles d’autres mammifère en condition optimale de mise en œuvre. L’analyse cartographique et la reconnaissance de terrain des zones prioritaires a enfin permis de définir les sites de pilotage recommandés. La mise en œuvre de l’Indice Aérien d’Abondance par Drone (IAAD), entre décembre 2023 et mars 2024, a permis de détecter 2 043 cerfs sur une surface prospectée de 4 694 hectares. Ce résultat est le fruit de 97 plans de vols pour une durée totale de 118 heures. Ils ont permis la prospection de secteurs répartis sur les trois zones prioritaires et ont été définis de manière à offrir une diversité des conditions de suivi, notamment en termes d’habitat (forêt, savane, maquis minier) et de strate de végétation (herbacée, arbustive, arborée). Les efforts se sont néanmoins concentrés sur les savanes herbacées périphériques ou incluses à la forêt humide ou en zones arbustives adjacentes, en excluant autant que possible les zones arborées défavorables à la détection aérienne et aux cerfs en période d’alimentation nocturne. Les résultats dénotent d’une abondance très élevée, avec une densité moyenne de 43,5 cerfs/km2 qui cache cependant des disparités importantes. Le secteur de Boréaré présente ainsi de loin la densité de cerfs la plus élevée (92 cerfs/km2), devant ceux de Konoyes Shaoué (78 cerfs/km2) et Bas Nindhia (63 cerfs/km2).
Towards Greener Taxes and Subsidies in Pacific Island Countries and Territories (PICTs)
BRB

Watkins, Emma

The Restoration of Ecosystem Services and Adaptation to Climate Change (RESCCUE) project is a regional project implemented by the Pacific Community. The overall goal of RESCCUE is to contribute to increasing the resilience of Pacific Island Countries and Territories (PICTs) in the context of global changes. To this end RESCCUE aims at supporting adaptation to climate change (ACC) through integrated coastal management (ICM), resorting especially to economic analysis and economic and financial mechanisms. The RESCCUE project operates both at the regional level and in one to two pilot sites in four countries and territories: New Caledonia, Vanuatu, Fiji and French Polynesia. RESCCUE is funded primarily by the French Development Agency (AFD) and the French Global Environment Facility (FFEM) for a duration of five years (01/01/2014 to 31/12/2018). The project budget is 8.5 million Euros from AFD/FFEM. It is structured around five components: Component 1: Integrated coastal management – supporting ICM implementation through ICM plans, ICM committees, and management activities concerning both terrestrial and marine ecosystems, capacity building and income generating activities. Component 2: Economic analysis – using economic analysis to support coastal management and policy decisions. Component 3: Economic and financial mechanisms – setting up economic and financial mechanisms to generate additional and sustainable funding for ICM: review of options (payment for ecosystem services, taxes, user fees, trust funds, quota markets, offsets, labels…); feasibility studies; implementation; monitoring. Component 4: Capitalization, communication, dissemination of project outcomes in the Pacific – going beyond pilot sites activities in order to have impacts at the regional level, by fostering experience sharing between sites, cross-sectoral expertise, and communication and dissemination of the project outcomes. Component 5: Project management – implementing and coordinating the project, by providing technical assistance, organizing local and regional steering committees, conducting audits and evaluations (mid-term and ex-post), etc. The report is to present interesting illustrative examples. The examples were selected based on the scale of their (potential) environmental, economic and social impacts, and their relevance to the PICT region, to ensure they are representative of the broader region and any lessons learned from an example in one location could be transferable more widely. This report should be seen as a contribution to the future analysis of taxes and subsidies (and their reform) that can help to meet a range of challenges facing the PICT region. It aims to contribute to guiding the region towards greener taxes and subsidies, by building the knowledge and capacity of policy-makers and stakeholders and offering some ideas for the future further greening of instruments to support the achievement of environmental objectives.
Invasion by the red-vented bulbul: an overview of recent studies in New Caledonia
BRB
Available Online

Barré, N.

,

Brescia, F.

,

Demaret, L.

,

Fogliani, B.

,

Jourdan, H.

,

Lannuzel, G.

,

Masse, F.

,

Potter, M.A.

,

Pujapujane, A.

,

Robert, N.

,

Thibault, M.

,

Vidal, E.

2019
New Caledonia is a tropical archipelago of the South Pacific Ocean, and is one of the 36 world biodiversity hotspots. However, its unique biodiversity is increasingly threatened by habitat fragmentation and introductions of invasive alien species. Among these invaders, the red-vented bulbul (Pycnonotus cafer) is currently expanding towards the north of the main island. This passerine features in the IUCN-ISSG list of the 100 worst invasive species of the world because of impacts caused by its diet. Thirty-five years after its introduction, we present an overview of data from recent studies conducted in New Caledonia that describe the local status of the red-vented bulbul, its range expansion, and potential impacts on both the local biodiversity and agriculture. Biannual monitoring of the distribution coupled with surveillance at the edges of native forests highlighted a tight association of the bulbul with man-modified habitats. Using a distance sampling method, we estimated that bulbul densities within the distribution core varied from a peak of 200 individuals/km2 in the main city of Nouméa, where the species has been introduced, to 30 individuals/km2 in rural habitats located 50 km away from Nouméa. We conducted a diet analysis on 40 bulbul corpses and found that 82% and 55% of individuals had consumed plant and animal items, respectively. We identified plant and insect species that may be of concern in the contexts of seed dispersal and predation by the red-vented bulbul. Finally, a food colour selection experiment and an open field test showed that the red-vented bulbul had a significant preference for red and sweet fruits. We estimated the economic loss caused by bulbuls to a tomato grower and discuss the result with respect to the development of an adapted management strategy, to prevent further impacts of the red-vented bulbul on the biodiversity and agriculture in the tropical island hotspot of New Caledonia.